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1. Epochen der französischen Geschichte - S. 54

1880 - Nördlingen : Beck
54 Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. la part de souverainete qu'clle avait acquise; et saint Louis n'au-rait pas voulu commettre cette usurpation. Ii se contenta donc d'etablir ce droit chez lui, respectant l'autorite des autres, et les laissaut libres, ou de suivre l'ancien usage, ou d'entrer dans la voie qu'il venait d'ouvrir uue meilleure justice. Mais c'etait une bien redoutable concurrence que celle de cette justice qui ne voulait plus rien ceder au droit du plus fort: et combien Tautre n'etait-elle pas odieuse quand eile laissait pour toute ressource au rcturier qui en appelait d'un noble la facults d'aller attaquer son adversaire monte cheval, couvert de son armure et pourvu de l'epee et de la lance, n'ayant, lui, d'autres armes que l'ecu et le bton? L'opinion publique poussait donc vivement vers les procedes de saint Louis. La vue de sa justice, pratiquee dans son domaine sur tous les points du terri-toire, tenait l'autre en echec; et les legistes3) aiderent puisam-ment son triomphe. Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. (Ernest Renan, Un ministre de Philippe le Bei, Guillaume de Nogaret, Revue des deux mondes. T. 98.) 1. Le differend du roi Philippe le Bei1) et du pape Miisheiiig- Boniface Viii2) avait commenc6 l'an 12963). La reconciliation keiten zwi- r()- et pape apres leurs Premiers demeles, n'avait ete qu' sehen Boni- , , r ' ... . , i n ti facius vni apparente; deux orgueils rivaux aussi enormes que celui de Jbo-und niface et celui de Philippe ne pouvaient vivre en paix. Pous-phiiipp rv. Sant l'extreme les ambitions politiques de la papaute italienne, Boniface ne voulait souffrir que rien se fit en Europe sans sa permission. La sentence arbitrato qu'il avait rendue le 30 juin Lehensadel, als Korporation. 5) Die Rechtsgelehrten hatten des. unter Ludwig Ix. u. Philipp Iv. großen Einflufs. Vgl. Vii, 3, 1. Aus dem Studium des rm. Rechts schpften sie den Grundsatz, dafs der Wille des Herrschers das lebendige Gesetz sei (Si veut le roi, si veut la loi); deshalb suchten sie gegenber den Grofsen des Reichs die unumschrnkte Macht des Knigs zu begrnden. Als rechtskundige Rte Ludwigs Ix. sind oben genannt: Simon de Nesle, der Graf v. Soissons, Pierre de Fon-taines, Geoffroi de Villette u. Joinville. 1. ') 12851314. 2) 1'2941303. 3) Als Philipp, im Kriege mit Eduard I. v. Engl., der frz. Geistlichkeit eine aufserordent-liche Steuer auferlegte, ohne zuvor die Genehmigung des Papstes einzuholen, drohte dieser 1296 im Wiederholungsfalle mit dem Bann, gestand jedoch schon im nchsten Jahr dem König das unbedingte Recht zu, die

2. Epochen der französischen Geschichte - S. 55

1880 - Nördlingen : Beck
Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. 55 1298 entre le roi de France et le roi d'angleterre etait une source de difficultes sans fin). Le pape surtdut n'admettait a aucun prix que le roi de France reconnt pour roi des Bomams Albert d'autriche5), arrive l'empire par le meurtre d Adolphe de Nassaus). Un sentiment superieur a l'affreuse barbane de son temps guidait souvent Boniface; mais la pretention de regner sur toute l'europe sans armee qui lui appartint, dans un temps o la force devenait la mesure du droit, etait chimerique. 2. Au commencement de 1303 l'animosite du pape et du roi arrivait son comble. Boniface, par son caractere hautam charakter et sa manie de se meler de toutes les affaires, avait fait debor- Seine zahi-der la haine. Les Florentius), les gibelins, les Colonnes2), les reichen Orsini2) eux-memes, le roi de France'), le roi des Romains4), eeg^in les moines, les mendiants, les ermites, tous etaient exasperes contre lui. Dej les Colonnes avaient leve l'etendard de la re-volte et montre la voie de l'attaque. Boniface etait un komme mondain, peu devot, de foi mediocre; il ne se genait pas assez pour les exigences de sa position. Ses allures, tout vieux quii etait, pouvaient sembler celles d'un cavalier plutt que celles d'un pretre; il detestait les frati*), les ermites, les sectes de mendiants, qui pullulaient de toutes parts, et ne cachait pas le mepris qu'il avait pour ces saintes personnes. La demission de Celestin V6), qu'on disait avoir ete forcee, le rle equivoque que Geistlichkeit zu besteuern. - *) Philipp hatte zuvor feierlich erklrt, dafs er Bonifatius als Vermittler anerkenne, aber uur wenn derselbe hiebei als Privatperson auftrete; dieser aber machte seitdem^ eme Ansprche auf weltliche Macht immer mehr geltend. - ) Albr.echy jar im Bann: gleichwohl schlofs Philipp 1299 zu Vaucouleurs ein Bndnis mit ihm. 6) In der Schlacht bei Gllheim am Donnersberg wurde Adolf v. N. von Albrecht gettet (2. Juli 1298). 2 !) Florenz war damals in die Parteien der Weitem (Gibel linen) u. Schwarzen (Weifen) gespalten; zuerst, als die Weifserl die Oberhand hatten, verhngte Bonif. das Interdikt der .diejtaf^r dt! i o()i sandte er Karl V. Valois (vgl. unten 5, 2) als Friedensstifter, die Folge war die Verbannung der Weifsen. - *) Die mchtigsten Adelsfamilien im Kirchenstaat. Die erbittertsten Feinde des Papstes waren die Colonna, seitdem er sich in einen Familienhader derselben Zenu^ht hatte. Als sie die Aufnahme ppstlicher Besatzungen m ihren Burgen verweigerten, setzte Bon. 1297 die Kardinle Jakob u^ ^trus Colonna ab, wogegen diese in einem Manifest gegen ihn an ein allgemeines Konzi appellierten. 3i Hauptschlich durch die Bullen uscuua fih vom 5 Dez 1301 u. Unam sanctam v. 18. Nov. 1302. In jener machte er dem König Vorwrfe wegen seiner Eingriffe m die Rechte der Kirche und berief die frz. Bischfe zu einer Versammlung nach Rom behuls Herstellung einer besseren Regierung in Frankr. In dieser behauptete er die ppstl. Oberhoheit der alle weltliche Macht. _ ) Vgl. 1, o. 6) Plural v. frate (ital.) Mnch. 6) Frher Einsiedler; am 5. Juli

3. Epochen der französischen Geschichte - S. 56

1880 - Nördlingen : Beck
56 Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. Boniface avait joue dans ce singulier episode7), les circonstances bizarres de la rnort de Celestin8), faisaient beaucoup parier. Un parti se trouva bientt pour soutenir que Boniface n'etait pas vrai pape, que son election avait ete invalid^e par la simonie, que Celestin n'avait pas eu le droit de se demettre de la pa-paute, que Boniface etait incredule, heretique. Les libelles des Colonnes exposaient toutes ces theses ds l'anne 1297; tienne Colonna9), refugie en France, rep etait les meines assertions jusqu' satiete. Les folles violences de Boniface, la croisade prechee10) contre les Colonnes, la bulle outree Lapis abscissus11), acheverent de tout perdre. La rage des Colonnes et les profonds mecon-tentements de Philippe firent ensemble alliance. Par le conseil des Italiens, qui, des cette poque, donnaient la France des legons de politique perfide, le roi et ses confidents congurent le projet le plus extraordinaire: aller chercher Boniface Rome pour l'amener , Lyon devant un concile qui le declarerait heretique, simoniaque, et par consequent faux pape. Nogarets 3. L'etonnante hardiesse de ce plan n'a et depassee que Auftrag. par ja hardiesse de l'execution elle-meme. Nogaret fut l'homme choisi pour le mener bonne fin. Sa haine de legiste1) contre les pouvoirs exorbitants de la juridiction ecclesiastique, sa doci-lite sans borne envers la Monarchie absolue, sa haine de Frangais contre l'orgueil Italien, son vieux sang de patarin2) et le souvenir du martyre de son a'ieul3) lui firent accepter une commission dont certes personne, dans les sicles anterieurs du moyen ge, 1294 zum Papst gewhlt, dankte er am 13. Dez. dess. J. wieder ab. Von Bonif. auf einem Schlofs im Kirchenstaat gefangen gehalten, starb er am 19. Mai 1296. Er ist der Stifter des nach ihm benannten Cle-stinerordens. 7) Man erzhlte, Bonifac. habe ihn nachts durch ein Sprachrohr, wie mit himmlischem Ruf, aufgefordert, seiner Wrde zu entsagen. 8) Namentlich die Clestinermnche verbreiteten darber die dunkelsten Gerchte, z. B. dafs Bonifac. dem Gefangenen einen Nagel habe in den Kopf schlagen lassen. 9) Bruder des Kard. Petrus Colonna. 10) Im Dez. 1297 forderte Bonifac. die ganze Christenheit zum Kampfe gegen die Colonna auf. Als diese unterlagen und sich unterwarfen, liefs der Papst ihren Stammsitz Palestrina (Praeneste) dem Erdboden gleich machen. n) Vom 23. Mai 1297. In derselben exkommunizierte der Papst die Kardinle Jakob und Petrus, sowie alle Brder des letzteren und ihre Erben, erklrte sie ihrer Gter fr verlustig und verfluchte alle Orte, die sie aufnehmen wrden. 3. i) Nog. stammte aus der Gegend v. Toulouse; war eine Zeit lang Prof. der Rechte in Montpellier, kam 1296 in den Dienst des Knigs und wurde 1299 als Ritter (miles; Chevalier es lois) geadelt. 2) Verchtl. Benennung der Albigenser im sdl. Frankr., dem deutschen Ketzer" entsprechend. 3) Derselbe war als Ketzer verbrannt worden.

4. Epochen der französischen Geschichte - S. 66

1880 - Nördlingen : Beck
Cg Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. raison de vivre. Ii ne convenait pas un tel caract6re d'etre victime ou martyr. Le ressort de I'me etait brise chez lui; il n'6tait pas capable de survivre l'affront qu'il avait regu la face de l'univers. Bonifatius' 14. Les Anagniotes auraient voulu garder chez eux Boni-Rckkehr face; Mais, apres la trahison dont ils s'etaient rendus coupables, nach Rom. pkpg ne pouvait plus avoir en eux aucune confiance. Malgre sein Tod. jeurg gupplications, il partit pour Rome, escorte par les cavaliers romains, qui etaient venus achever sa delivrance. Le sacre-college se reformait; plusieurs des cardinaux traitres ou fugitifs etaient venus le rejoindre; Napoleon des Ursins, en particulier, ne le quittait pas. Ii vint de la sorte Saint-Pierre, o il pretendait, dit-on, assembler un concile pour se venger du roi de France. La rage etait d'ailleurs trop forte dans cette me passionnee; eile le tua. Ses domestiques le trouvaient toujours sombre; il avait des moments d'alienation mentale, o il ne par-lait que de maledictions et d'anathemes contre Philippe et ses ministres. On le voyait seul dans sa chambre se ronger les mains, se frapper la tete. Comme son me etait cependant grande et forte, il retrouva, ce semble, le calme ses derniers moments. Ii mourut le 11 octobre, l'ge de 86 ans, et avec lui finit la grande tentative, qui avait moitie reussi au Xie et au Xiii6 siede, de faire de la papaute le centre politique de l'europe. Niederlage 15. Nogaret passa l'intervalle depuis le 9 septembre, jour des Papst-de son expulsion d'anagni, jusqu'au 11 octobre, jour de la mort turas. oniface, Ferentino, aupres de Rainaldo. Le projet avait echoue, et certainement la Situation des conjures et ete fort cri-tique, si la vie de Boniface se ft prolongee. La mort du pape vint changer sa defaite en victoire1). Ce qu'il y a d'extraordi-naire en effet dans l'episode d'anagni, ce n'est nullement que le pape ait ete surpris par Rainaldo et Nogaret, c'est que cette surprise ait amene des resultats durables2); c'est que la papaute, 15. i) Bonif. Nachfolger, Benedikt Xi., trat sogar in Unterhandlungen mit ihm. Er liefs ihn bitten, ohne Befehl seines Knigs nichts weiter zu unternehmen, erklrte sich bereit, diesem Genugthuung zu leisten, und bat endlich Nogaret, alsbald nach Frankr. zurckzukehren und den König zur Absendung einer Gesandtschaft behufs Herstellung des Friedens zu veranlassen. Im Febr. 1304 traf Nogaret zu Beziers mit dem König zusammen. 2) Die Niederlage der ppstl. Macht. Benedikts Nachfolger, ein Franzose, bisher Erzbischof v. Bordeaux, Clemens V. (seit 1305), und dessen Nachfolger bis 1378 residierten in Frankr. (Avignon), unter dem Schutz u. Einflufs des frz. Knigs.

5. Enthaltend der neuesten Geschichte erste Hälfte - S. 271

1845 - Halle : Anton
271 über Hohen-Sinne (Siena) auf Rom dirigirt, und war selbst nach Bononien gegangen, um, wie er sich ausdrükte, nun den päbstlichen Hof für alle die Treulosigkeiten, die er sich habe Zu Schulden kommen laßen, zu strafen. Als seine Truppen, die Avantgarde unter Victor, am 2ten Februar nach Jmola vorgerükt waren, fanden sie die ganze Landschaft fanatisirt gegen sich. Der Cardinal Rusca mit etwa 7001) Man lag an der Brücke von Bononisch-Burg- städt (Castel Bolognese). Als die Franzosen in die Nahe kamen, ließ S. Eminenz drohen: die römische Armee werde wirklich Feuer geben, wenn man sich nicht zurükziehe. In der Nacht zum 3ten ließ Buonaparte aber einen Teil sei- ner Truppen höher oben über den Fluß gehen; die päpst- liche Armee sah sich, als sie erwachte, umgangen. Da bemächtigte sich ihrer ein panischer Schrecken. Es dauerte keine Stunde, und sie floh nach allen Seiten. Victor be- sezte Fajenz, indem er nach vergeblichen Aufforderungen das Tor einschlagen ließ, ohne Widerstand zu finden. Buo- naparte sah diese päbstlichen Truppen so als militärische Canaille an, daß er sich nicht einmal die Mühe nam, die Gefangenen zu behalten. Die Ofsi'cire, zum Teil aus den vornemsten römischen Geschlechtern, waren ganz von ihm begeistert, als er sie fortschikte. Furlen, Cesen, Po- ser, Rimen, Sinigallien sezten gar keinen Widerstand mehr entgegen. Auch Ancon ward fast ohne Blutvergie- ßen genommen; schon am Oten Februar. Man fand 120 Geschütze und Munition aller Art. Am 10ten ward Loret von Marmont bcsezt; hier hatte man auf hübsche Beute durch Tempelraub gerechnet, fand aber nur un- bedeutenderes zurükgelaßenes und das Muttergottesbild, was man im Triumphe der Frechheit nach Paris sandte. Von Liburn aus war Perusien besezt worden; das nach Hohen-Sinne detachirte Corps drang nach Umbrien, so wie ein anderes eben dahin von Ancon aus, vor. Der päbstliche Hof war in größter Bestürzung. Pius Vi. war kein Gregor, und hatte auch den geringen Mut, den er sonst besaß, nun ganz verloren. Er dachte an Flucht nach Neapel. Endlich beauftragte er den Cardinal

6. Enthaltend der neuesten Geschichte erste Hälfte - S. 581

1845 - Halle : Anton
581 Pius sich weigerte, so vile französische Cardinale zu ernen- nen, daß sie den dritten Teil des Collegii bildeten. Im Februar 1808 ließ t er Kaiser der Franzosen Rom durch den General Miollis und 0000 Man unter dem Vorwände besetzen, die neapolitanischen Banden müsten auch von der Seite des Kirchenstates her bekämpft werden. Bald bemäch- tigten sich die Franzosen auch der Post und der Buchdrucke- reien. Die päbstlichen Truppen wurden ohne weiteres mit den französischen vereinigt und líber sie verfügt. Ofsicire, welche widerstrebten, wurden als Gefangene behandelt; vier Eardinäle wurden als Starsverbrecher eingezogen; zehn andere verwisen; die Nobelgarde ward entwafnet; die Schweitzer- garde beseitigt; die Engelsburg besezt. Kurz! die Fran- zosen schalteten nun in Rom auf das übermütigste als Her- ren. Napoleon erklärte endlich am 3ten April 1808 gerade- zu, der Pabst habe ihm durch Ablenung engen Schuz-und Truzbündnisses gegen seine Feinde den Krieg erklärt; des- halb habe er den Kirchenstat besetzen müßen. Es tue ihm leid, das der heilige Stul durch Unvernunft und Verblen- dung dergestalt zu Grunde gehe. Schon am Tage zuvor hatte er durch ein Decret von St. Cloud die päbstlichen Provinzen Urbin, Ancón, Maceraten und Camerin für ewi- ge Zeiten mit dem Königreiche Italien verbunden, und über- haupt in seiner Eigenschaft als Nachfolger Karls des Gro- ßen die pipinische und karolinische Schenkung widerufen. Alle päbstlichen Protestationen gegen dieses Versaren waren umsonst; jeder wirkliche Widerstand, der sich regte, ward mit Gewalt erdrükt; zulezt der Pabst selbst in seinem Pala- ste bewacht und eine Zeitung in Rom begründet, um Schmä- hungen gegen den Pabst in Umlauf zu setzen. So dauerte die gewalttätige Stellung zum Oberhaupte der Kirche wärend Oestreiä) zu neuem Kriege rüstete, und wir fügen hier so- fort, um später die Darstellung nicht unterbrechen zu müßen hinzu, daß Napoleon wärend dieses Krieges dann im Mai 1800 den Rest des Kirchenstates für mit Frankreich vereinigt erklärte, und in» Juni Besiz ergreifen ließ. Der Pabst solté nur eine Rente behalten. Der Pabst nam nicht nur diese Rente nicht an, sondern ermante sich endlich und Han-

7. Erzählungen aus der neuesten Geschichte (1815 - 1881) - S. 59

1877 - Oldenburg : Stalling
Als nun nach Konstantins entschiedener Ablehnung die Hauptstadt am 26. Decbr. 1825 dem Kaiser Nikolaus huldigen sollte, beschlossen die Leiter des nrdlichen Bundes die Aus-fhrung ihres Planes. Man hatte den Soldaten vorgespiegelt, die Thronentsagung Konstantins sei ein Betrug; Nikolaus werde den angematen Tbron aufgeben, wenn er die Stimmung des Heeres kenne, dessen gerechte Wnsche dann erfllt werden wrden. Unweigerlich legten die Civilbehrden den Huldi-gungseid ab, aber ein Theil der Truppen, von den Ver-schworenen gewonnen, machte Schwierigkeiten und schritt zuletzt zu offener Emprung. Auf die Nachricht hiervon befahl Niko-laus die Garde-Sappeurs und Pioniers, auf deren Ergeben-heit er rechnen konnte, zum Schutze des Palastes herbeizu-fhren. Um die Mittagsstunde rckten die Aufrhrer unter dem Rufe: Es lebe Konstantin!" heran. Da sie die ge-troffenen Anstalten sahen, zogen sie vorber und stellten sich auf dem Platze vor dem Senatspalaste auf, indem sich unter ihre Ausrufungen zu Gunsten Konstantins nun auch noch ein anderer: Es lebe die Constitution!" mischte.*) Der Gouverneur von Petersburg, General Miloradowitsch, versuchte es, die Soldaten durch die Betheuerung, da sie getuscht seien und da Konstantin nicht Kaiser sein wolle, zu beruhigen, aber ein Pistolenschu streckte ihn nieder. Auf diese Kunde setzte sich der Kaiser selbst zu Pferde und ritt nach dem Platze, wo die Aufrhrer standen. Als wiederholte Vorstellungen bei ihnen nichts ausrichteten, gab endlich der Kaiser den Befehl zum Angriff: Karttschenschsie zersprengten bald die Rebellen, die von der einhauenden Reiterei nach allen Seiten hin ver-folgt wurden. Abends 6 Uhr verkndete ein feierliches Te Deum den Sieg und die Thronbesteigung Nikolaus' I. Ebenso glcklich wurde auch der Aufstand im Sden gedmpft. Die Untersuchung dieser Vorflle ergab, da eine weit-verzweigte Verschwrung zum Sturz der kaiserlichen Familie bestanden hatte. Nur fnf der eigentlichen Hupter wurden durch den Strang am Leben bestraft (Juli 1826), die brigen *) Die Soldaten sollen bei der Aufforderung also zu rufen, gefragt haben: wer die Constitution sei. Auf die Antwort, es sei Konstantins * Gemahlin, lieen sie dieselbe sogleich hoch leben.

8. Erg-Heft - S. 27

1819 - Leipzig : Hinrichs
Krieg Napoleons gegen Rußland im Jahre 1813. 27 von beiden zu Fontainebleau (26. Januar 1813) unterzeich- neten, neuen Concordate, nach welchem dem Papste die geistlichen Rechte seiner Vorgänger in Frankreich und im Königreiche Italien zurückgegeben, in beiden Neichen zehn Pisthümer, die sechs römischen suburbikaner Bisthürner, und die Bisthümer in partibus seiner Ernennung überlasten wurden, so wie von neuem sremde Gesandte und diplomatische Agenten bei ihm erscheinen, und Geschäftsträger'von ihm ernannt werden sollten. Napoleon eilte, gegen die vom Papste deshalb gemachte Bedingung, mit der Vekannt- tnachung desselben, worüber der Papst von neuem mit ihm zerfiel, und den französischen Bischöffen erklärte, daß das eben abgeschlossene Concordat ungültig sey. -— Endlich be- stimmte Napoleon, auf den Fall seines Todes, in einem organischen Senatus-Consultum (5. Februar 1813) die Regentschaft der Kaiserin-Mutter wahrend der Minder- jährigkeit ihres Sohnes, und das Recht der Oberaufsicht -über denselben, welche Regentschaft derselben auch (30. Marz) für die Zeit der Abwesenheit des Kaisers von Frankreich über- tragen ward. In der Zeit, daß Napoleon diese Veranstaltungen im Innern Frankreichs traf, führte Murat die Reste des fran- zösischen Heeres von Wilna über den Niemen zurück, und General Grenier brach mit 35,000 Mann aus Italien in die Lander zwischen der Elbe und Oder auf. Gleichzeitig ward von der Generalconföderation in Polen die gesammke polnische Nation zum Kampfe aufgerufen; allein noch war diese Maasregel nicht ausgeführt, als die französischen Hee- resmassen über die Weichsel zurückgehen mußten, und der Kaiser Alerander, von Wilna aus (24.December 1812), den Polen, welche Stetten wahrend der französischen Herrschaft bekleidet, oder die Waffen gegen Rußland getragen hatten, eine auf zwei Monate geltende Verzeihung anbieten ließ. Den Ausschlag in den Weichsellandern gab aber (30. December 1812) die Capitulation des preußischen Generals volt Port in der Poscherungischen Mühle mir dem russischen Generale von Diebitsch, welcher den Vortrab des Wittgen-.

9. Bd. 4 - S. 474

1845 - Leipzig : Kollmann
474 schlecht gekleidet und zerlumpt. Man sagte indesi dem Churfür-- sien, als er darüber etwaö betroffen war, daß das Tuch zur neuen Montur auch mit gekommen wäre. Die Freude des Churfürsten wurde bald ziemlich hcrabge- stimmt, als die Operationen der nunmehr vereinigten baierisch- französischen Armee berathcn, und die Verhältnisse der beiden Anführer bestimmt werden sollten. Männer wie Map und Vil- lars konnten unmöglich mit einander harmonircn. Beide gleich eitel, beide gleich voll luftiger Plane des Ehrgeizes und der Habsucht, beide gleich eifersüchtig auf ihren Rang und ihre Ge- walt, mußten sie sehr bald zusammen stoßen. Der Churfürst, Herr einer größeren Macht, als ihm Villars zuführte, verwarf cs schlechthin, unter, oder neben dem Fcldhcrrn eines Bundesge- nossen zu stehen. Villars, als Marschall des großen Königs, behandelte den Churfürsten als seinesgleichen, und verlangte die höchste Leitung nebst der Auslieferung von Ulm, Ingolstadt und Braunau, um im Falle des Unglücks sichere Stützpunkte zu haben. Unerträglich waren dem Churfürsten diese Zumuthund gen, und er erklärte lieber auf den französischen Beistand verzichten zu wollen, als sich solche gefallen zu lassen. Villars möge nur immer wieder zurück marschiren, wenn er auf seinen Ansprüchen beharren wolle. Da kein Thcil nachzugeben geneigt war, so wurde ein Kourrier nach Paris gesendet, die Entscheidung des Königs von Frankreich einzuholen. Dieser entschied: Die höchste Lei- tung gebühre dem Churfürsten, wo er selbst persönlich wirke; in der Abwesenheit desselben aber sey Villars der Erste, und übri- gens bevollmächtigter Gesandter des Königs bei seinem Bundcs- verwandten. Dieser gegebenen Zusicherung ungeachtet erhielt Vil- lars, so wie später sein Nachfolger, ununterbrochen geheime Vor- schriften von ihrem Hofe, welche sic befolgten, und welche der gemeinsamen Wirkung bedeutenden Schaden brachten. Kaum war dieser erste Zwiespalt bcigelegt, so entspann sich sogleich ein zweiter über die Frage, wohin man sich nun wenden wolle. Villars meinte, ohne Verzug gegen Wien vorzudringen, um den Kaiser im Herzen seines Landes zu überwältigen; Ma- ximilian wollte in Tyrol einfallcn und dem Herzoge von Ven- do me (dem Nachfolger Villcroi's in Italic») den Weg in'ö Ocstcrreichische bahnen. Ludewig mußte abermals entscheiden und cr stimmte für das Letztere, und ließ zugleich an den Marschall

10. Lehrbuch der Naturwissenschaften und der Geschichte für fähigere Kinder in Bürgerschulen so wie auch für wißbegierige Nichtgelehrte - S. 269

1825 - Rostock : Adler
seiner eigenen Heere, und von dem russischen Ober- feldherrn Kutusow Smolenskoy, den Genera- len Wittgenstein, Tschitschagoss und Pla- low mit seinen geflügelten Kosacken, bis au die Berezina. Nach dem Uebergange über diesen Fluß den 2ysten November waren von seiner großen 460,000 Mann starken Armee nur noch 30,000 Mann zusammen geblieben, alle andere durch dasschwerdt, das Geschütz und die Piken der Kosacken, oder auch durch Hunger und Kalte aufgerieben, zerstreut oder in den Fluthen der Berezina ersauft. Napoleon beichtete selbst, wiewohl sehr verkleinernd, sein Sün- denelend im 29sten Büllctin, übergab die Trümmer seines Heeres den zten December dem Könige von Neapel, eilte für seine Person, unter einem fremden Namen, durch Wilna, Warschau, Dresden, Leipzig, Frankfurt und Maynz, und kam mit Schmach be- deckt, den isten December in der Nacht zurück nach Paris, um neue Heere zum Kriege zu rüsten. Der Senat überließ ihm die Nationalgarden, 350,000 Mann, die ursprünglich für den Dienst im Inlands bestimmt waren. Zu gleicher Zeit versöhnte Napo- leon sich mit dem Papste, der ihn 1809, wegen Wegnahme des Kirchenstaates und Aufhebung seiner weltlichen Macht, mit dem Banne belegt hatte, gab ihm, in dem den 25sten Juny 1813 mit ihm geschlos- senen Concordate, auch seine geistlichen Rechte in Frankreich und Italien zurück, und setzte, auf den Fall seines Todes, seine Gemahlinn, wahrend der Minderjährigkeit ihres Sohnes, und seiner eigenen Abwesenheit, zur Regentiun ein. Auf solche Weise suchte der geschlagene Napoleon den Himmel und die Erde wieder zu versöhnen, um sich an seinen sieg- reichen Feinden rachen zu können. Aber auch Alexander hatte Frieden gemacht mit der Pforte zu Bucharest schon den 28sten May 1812, mit Großbritannien den ibteniuly, mit der spanischen Re-
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